Éditions de La Martinière, 2013.
Laure Albin Guillot, un « nom sonore qui devait devenir fameux », peut-on lire au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Le paysage photographique français de l’époque est en effet singulièrement marqué par la signature et par l’aura de cette artiste qui, de son vivant, fut certainement la plus exposée et la plus reconnue, non seulement pour son talent et sa virtuosité mais aussi pour son engagement professionnel.